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Mobilisez-vous pour la cause : Participez au Radiothon de la Société Alzheimer de Montréal les 12 et 13 février ! 📻💜

Mobilisez-vous pour la cause : Participez au Radiothon de la Société Alzheimer de Montréal les 12 et 13 février ! 📻💜

Le 12 et 13 février prochains, la Société Alzheimer de Montréal organise un événement phare pour recueillir des fonds essentiels afin de soutenir ses initiatives cruciales en matière de prévention, de promotion de la santé, de sensibilisation, ainsi que les programmes et services dédiés aux personnes vivant avec un trouble neurocognitif à Montréal. C’est une occasion unique de faire une réelle différence dans la vie de nombreuses personnes, jeunes et moins jeunes, touchées par cette condition.

 

3 raisons de participer au Radiothon !

1. Soutien aux Actions de Prévention et de Promotion de la Santé :

La Société Alzheimer de Montréal s’engage activement dans des actions de prévention et de promotion de la santé, mais propose aussi de nombreux programmes et services aux personnes vivants avec la maladie d’Alzheimer mais aussi à leurs proches aidants et leurs familles ! En participant au Radiothon, vous contribuez directement à ces initiatives.

2. Sensibilisation à la Cause :

En unissant nos forces lors de cet événement, nous renforçons la sensibilisation autour des troubles neurocognitifs. Plus nous sommes nombreux à participer, plus nous pouvons diffuser le message et éduquer la communauté sur les réalités actuelles et les réalités à venir autour des troubles neurocognitifs

 

3. Soutien aux Programmes et Services Locaux :

Les fonds collectés lors du Radiothon seront directement investis dans les programmes et services offerts à Montréal. Cela inclut un éventail de ressources et de soutiens pour les personnes composant avec la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour leurs proches et aidants.

 

Comment faire un don ?

Pour contribuer à cette noble cause, vous pouvez composer le (514) 846-3535 et effectuer votre don par téléphone. Vous pouvez aussi faire un don rapide en croisant nos bénévoles dans les métros : Square Victoria OACI, Jean-Talon, Berri-Quam, Honoré-Beaugrand et Lionel-Groulx. Si vous préférez une méthode en ligne, visitez le site de la Société Alzheimer de Montréal .

 

Rejoignez la mobilisation !

En participant au Radiothon les 12 et 13 février, vous rejoignez une communauté engagée. Chaque don, qu’il soit petit ou grand, fait une différence significative. Partagez cette information avec vos proches, sur les réseaux sociaux et encouragez votre réseau à se mobiliser pour cette cause qui touche de nombreuse famille à Montréal.

 

Ensemble, faisons une différence dans la vie de ceux qui vivent avec un trouble neurocognitif. Votre soutien compte !

Le sommeil et les troubles neurocognitifs : préserver le cerveau avec des bonnes nuits de repos

Le sommeil et les troubles neurocognitifs : préserver le cerveau avec des bonnes nuits de repos

Qu’est-ce que le sommeil lent profond ?

Le sommeil lent profond correspond à une phase de notre sommeil  pendant laquelle notre cerveau élimine les déchets métaboliques. À titre d’exemple, plusieurs études avancent que la maladie d’Alzheimer pourrait être causée par une concentration de protéine bêta-amyloïde ou A-bêta qui empêche le transfert de signaux entre les neurones.  De fait, si ce temps de sommeil lent profond diminue, l’élimination des déchets est impactée.

L’étude de la chercheuse Andrée-Ann Baril, de l’Université de Montréal

L’étude démontre que la perte du sommeil lent profond pourrait accentuer le risque de développer des troubles neurocognitifs, notamment la maladie d’Alzheimer.

Cette étude, mené sur près de 250 sujets (de 60 ans et plus) a été réalisée en deux phases. Le sommeil de ces personnes fut analysé entre 1995 et 1998, puis entre 2001 et 2003. Par la suite, les signes de développement de troubles neurocognitifs ont été surveillés de près : une cinquantaine de cas ont été décelés pendant les 17 années de suivi réalisé. Ainsi, selon cette étude, “chaque déclin d’un pourcentage du temps de sommeil profond augmentait de 27 % le risque de démence.” Selon les chercheurs, ce sommeil profond serait donc un facteur de risque modifiable, c’est-à-dire qu’il est possible de minimiser le risque de développer une maladie cognitive en adoptant les bons comportements afin de préserver son sommeil.

La chercheuse Andrée-Ann Baril précise que cette association pourrait aussi être faite de l’autre sens, soit que la maladie d’Alzheimer pourrait aussi être responsable de cette perturbation de sommeil lent profond. Cette étude doit donc être considérée avec prudence.

De fait, les informations scientifiques actuelles suggèrent que la qualité du sommeil joue un rôle bénéfique dans le contexte des troubles neurocognitifs. Il est important de considérer l’importance de la bonne qualité du sommeil.

 

Améliorer la qualité de son sommeil grâce à la pratique d’activité physique

 La pratique d’activité physique régulière peut apporter des bienfaits significatifs à la qualité du sommeil. Cela permet une meilleure régulation du sommeil et une augmentation de la profondeur du sommeil. Cela permet aussi d’augmenter la quantité de sommeil long profond.

Par ailleurs, l’exercice physique régulier contribue à diminuer des émotions telles que le stress et l’anxiété, fréquemment observées dans le cadre de la maladie d’Alzheimer.

La Société Alzheimer de Montréal propose diverses activités sportives, toutes adaptées aux capacités individuelles et encadrées par des professionnels. Explorez nos services en consultant notre site web !

Sources : https://www.lechodelarivenord.ca/actualites/societe/597594/demence-attention-au-sommeil-lent-profond

Co-créer pour le bien-être des aînés : Le Quartier Innovant de Montréal

Co-créer pour le bien-être des aînés : Le Quartier Innovant de Montréal

Co-créer pour le bien-être des aînés

C’est au centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (CRIUGM) que s’est déroulé un atelier collaboratif dont l’objectif est de concevoir des solutions pour préserver la santé cognitive des personnes âgées. Ce projet s’intéresse particulièrement à la mobilité, à la communication et à la cognition. Il met en avant la diversité des connaissances, le pouvoir d’action des communautés et surtout la cocréation.

Ainsi, le but est de développer des services et des programmes visant à accroître l’inclusion des aînés dans la communauté de Montréal, notamment dans le quartier de Côte-des-Neiges.

 

Collaborer pour créer une meilleure qualité de vie

Au cœur de cette démarche, les personnes âgées participantes partagent leurs visions et leurs expériences. Le volet de la cognition est supervisé par Sylvie Belleville, professeure au Département de psychologie de l’UdeM et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en neuroscience cognitive du vieillissement et plasticité cérébrale, en collaboration avec les chercheuses Nouha Ben Gaied, directrice de la Fondation Berthiaume-Du Tremblay, et Patricia Belchior, professeure à l’Université McGill.

L’objectif de cette approche est la promotion de la santé cérébrale des personnes âgées, de ce fait, les recherches sont directement faites avec la communauté, où chaque participant a une voix égale.

 

Des échanges créateurs d’idées et de bénéfices évidents

Durant cette rencontre, les personnes âgées ont partagé leurs souhaits en ce qui concerne les activités destinées à préserver leur santé cognitive. Un désir partagé a émergé : la possibilité d’accéder à davantage d’activités sociales qui favorisent la discussion et le débat.

Le quartier Côte-des-Neiges étant ethnoculturel, les participants ont exprimé un désir profond d’en apprendre davantage sur les autres cultures, d’explorer de nouveaux horizons, en apprenant de nouvelles langues et en partageant des recettes traditionnelles. Ces idées émergeantes permettront de créer des liens tout en stimulant les esprits.

Sylvie Belleville a souligné l’impact plus que positifs de ces idées, les qualifiant comme des “compte double”. En effet ces dernières enrichissent à la fois les relations sociales et l’intellect, donc agissent sur plus d’un facteur de protection de la santé cognitive à la fois.

Les partenaires communautaires, touchés par ces désirs sincères, prévoient de repenser leur programmation pour mieux refléter les besoins et les aspirations de ceux qu’ils servent.

 

Source : https://nouvelles.umontreal.ca/article/2023/10/20/aller-a-la-rencontre-des-aines-pour-favoriser-leur-sante-cognitive/

 

La proche aidance au Québec

La proche aidance au Québec

Le soutien invisible qui fait toute la différence, c’est la proche aidance !

En septembre, la Bibliothèque de l’Assemblée nationale du Québec a publié une note d’information intitulée « Matière à réflexion : La proche aidance au Québec ». Cette publication met en lumière un sujet d’une importance croissante au Québec et ailleurs dans le monde : le rôle des proches aidants.

Pour rappel : les proches aidants soutiennent principalement des personnes âgées, et leurs responsabilités couvrent un large éventail de besoins (transport, aide aux soins personnel, aide aux travaux domestique, soutien émotionnel…)

 

 

Quelques chiffres sur la proche-aidance au Québec

  • En 2018, 21,1 % des personnes de 15 ans et plus étaient des proches aidants au Québec, soit près de 1,5 million de personnes, dont 57,5 % étaient des femmes.
  • La part des personnes âgées de 65 ans et plus pourrait s’élever à 25% en 2031. Les poids relatifs entre les moins de 20 ans et les plus de 65 ans suggérera qu’il y aura de moins en moins d’aidants et de plus en plus de personnes aidées.
  • Au Québec, en 2007, les soins informels dispensés par des aidants de plus de 45 ans équivalaient à près de 3,95 milliards de dollars. Sans leur contribution économique, le système de santé serait encore plus fragile.

 

Les proches aidants : Piliers de la société Québécoise

Avec le vieillissement de la population québécoise, le nombre de proches aidants tend à augmenter rapidement pour les années à venir. Ces personnes jouent un rôle essentiel pour les bénéficiaires de leurs soins mais aussi pour la société. En effet, ils aident à alléger le système de santé tout en contribuant à la qualité de vie de leurs proches. Ce rôle peut amener des défis de taille dans la vie des aidants en raison de la charge de travail supplémentaire et financière que ce rôle apporte.

 

Quel soutien pour les proches aidants au Québec ?

Le gouvernement québécois a mis en place des mesures pour reconnaitre ce rôle dans la société.

  • Notamment en 2020 avec la loi visant à reconnaitre et à soutenir les personnes proches aidantes.
  • L’année suivante, en 2021, le gouvernement adopte la politique nationale pour les personnes proches aidantes, le premier plan d’action gouvernemental en découle.
  • Des modifications à la Loi sur les normes du travail de 2018 permettent d’accorder plus de congés aux travailleurs ayant le statut de proche aidant.
  • Le gouvernement du Québec offre également un crédit d’impôt remboursable aux personnes remplissant les critères d’admissibilité, en remplacement du crédit d’impôt pour l’aidant naturel d’une personne majeure depuis 2020.

De plus, de nombreux services sont disponibles, comme des services psychosociaux, des organismes communautaires, des programmes financiers et des subventions. Des organisations telles que l’Appui proches aidants met à disposition des aidants, des lignes téléphoniques et diffuse à travers divers médias son offre de services. Ou encore, Proche aidance Québec qui joue un rôle clé dans la sensibilisation à la réalité des aidants, en regroupant 124 organismes communautaires dédiés à ce rôle.

 

La proche aidance à l’international

D’autres pays, tels que la France, l’Australie et le Royaume-Uni ou encore d’autres provinces du Canada ont adopté des mesures pour soutenir les proches aidants, comme des prestations d’assurances emploi, de la reconnaissance, des congés rémunérés, des régimes de congés remboursables, la création de nouveaux droits, et bien plus…

 

Pour conclure : les proches aidants sont les super-héros de l’ombre qui veillent en silence sur ceux qu’ils aident

Les proches aidants jouent un rôle crucial et souvent méconnu dans notre société, offrant un soutien inestimable à leurs proches, malgré les défis significatifs qu’ils rencontrent. Il est donc impératif de reconnaitre leur précieuse contribution, de leur apporter le soutien nécessaire, et de mettre en place des politiques visant à préserver leur bien-être.

 

Sources : https://www.bibliotheque.assnat.qc.ca/fr/10192-matiere-a-reflexion

 

TiDoc’: la maladie d’Alzheimer expliquée aux enfants de 6 à 8 ans

TiDoc’: la maladie d’Alzheimer expliquée aux enfants de 6 à 8 ans

TiDoc’: la maladie d’Alzheimer expliquée aux enfants de 6 à 8 ans

Mamie ou Papi vit avec la maladie d’Alzheimer. Comment trouver les bons mots pour parler de cette pathologie à votre enfant?
TiDoc’ est là pour vous aider! TiDoc’, c’est une docteure qui, accompagnée de son caméléon drôle et attachant Tifou, explique simplement et avec exactitude les pathologies en santé à travers un dessin animé et une collection de livres, entre autres.

Visionnez l’épisode sur la maladie d’Alzheimer
dès à présent:

 

Pourquoi parler de la maladie d’Alzheimer à vos enfants ?

Nos enfants sont témoins de problèmes de santé qui peuvent affecter les adultes qui les entourent. Cela peut créer de l’anxiété chez eux, surtout quand ils ne comprennent pas exactement ce qu’il se passe. Si le diagnostic est plus fréquent chez les personnes âgées, la maladie d’Alzheimer peut toucher les personnes de tous les âges. Il est donc important de bien la comprendre, qu’elle soit présente ou non dans l’entourage, car elle peut affecter la famille dans le futur et créer des incompréhensions (par exemple, “pourquoi mamie n’agit pas comme avant?”).

 

Image extraite de l’épisode La maladie d’Alzheimer de la série « Demande à TiDoc' ».

Le dessin animé TiDoc’

Demande à TiDoc’ est un dessin animé de 52 épisodes qui explique aux enfants de 6 à 8 ans les problèmes de santé tels que l’otite, la gastro-entérite, le cancer, la maladie Alzheimer, le TDAH etc. Les épisodes sont disponibles gratuitement sur TFO.

Image extraite de l’épisode « C’est quoi la maladie d’Alzheimer? » de la série « Demande à TiDoc' ».

L’univers TiDoc’, c’est quoi ?

TiDoc’ est bien plus qu’un simple dessin animé. Sa mission consiste à ÉDUQUER en utilisant l’information médicale certifiée et validée par un comité scientifique; à RASSURER les enfants et leurs parents sur différents problèmes de santé; à PROMOUVOIR les bonnes pratiques de santé; et à INSPIRER les enfants à s’intéresser aux métiers du milieu médical. TiDoc’ est une création de Gala Prod.

Découvrez l’Univers TiDoc’ :

 Pour en savoir plus : www.tidoc.ca