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Stop à la maltraitance de nos aînés

Stop à la maltraitance de nos aînés

La maltraitance des aînés se traduit sous forme d’actes infligés à une personne âgée, incluant la violence physique, l’abus émotionnel, la maltraitance, l’exploitation financière ou sexuelle. Lutter contre ce fléau est essentiel pour assurer leur sécurité, leur bien-être et leur dignité.

Quelles sont les formes de maltraitance ?

Il existe une multitude de formes de maltraitances. Les plus connues sont les suivantes :

  • La maltraitance physique
  • La négligence
  • La maltraitance émotionnelle/ psychologique
  • Abus sexuel

 

Une réalité alarmante

La maltraitance est une réalité qui nécessite une attention urgente. Selon une enquête menée au Québec, en 2019, près de 6% de la population âgée, soit environ 78900 personnes, ont déclaré avoir été victime d’au moins un type de maltraitance au cours des 12 derniers mois[1].

Ces chiffres révèlent l’ampleur de ce problème silencieux et soulignent l’urgence d’agir pour protéger nos ainés.

Comment agir ?

Les facteurs de protection peuvent aider à réduire les risques de maltraitance envers les personnes âgées, qu’ils soient présents ou persistants. Ils sont classés en deux catégories : ceux qui sont propres à la personne elle-même et ceux qui sont liés à son environnement, qu’il soit direct ou plus indirect.

Facteurs de protection personnels

  • Gestion du stress : prenez du temps pour vous
  • L’expression des émotions : parlez-en autour de vous ou avec un professionnel
  • Conscience de soi : reconnaître le moment où la recherche d’aide est nécessaire grâce à une connaissance de soi.
  • Connaissance juridique : connaître ses droits humains et civils. En cas de doute ou pour toute question rapprochez-vous d’un professionnel.


Facteurs de protection environnementaux

  • Environnement sain et sécuritaire : entourez-vous de bonnes personnes, disponibles et compétentes,
  • Réseau social : participez à des rencontres pour élargir votre cercle social, approchez-vous des organismes destinés aux ainées de votre région

En favorisant ces facteurs de protection, il est possible de réduire les risques de maltraitance tout en créant un environnement propice à leur bien-être et à leur sécurité.


Aides et ressources

Pour toute urgence, composez directement le 9-1-1.

  • Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés (LAMAA) 
    1 888 489-ABUS (2287)
    La LAMAA est une ligne téléphonique provinciale d’écoute et de référence spécialisée en matière de maltraitance envers les personnes aînées. Elle offre des services à la population comme aux professionnels et formateurs en maltraitance.
    Services offerts en français et en anglais (service d’interprètes disponible sur demande pour certaines langues)
    8 h à 20 h, 7 jours sur 7.
  • Plusieurs situations peuvent vous amener à déposer une demande pour que des sanctions pénales en lien avec la lutte contre la maltraitance soient imposées à quelqu’un.
    Pour plus d’informations, consultez la section Demande d’application de sanctions pénales en lien avec la Loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité de la page Coordonnées supplémentaires du ministère de la Santé et des Services sociaux.
  • Info-Social 811
    811
    Le service Info-Social 811 pour recevoir des conseils et des réponses aux questions d’ordre psychosocial. Les professionnels du service peuvent aussi, au besoin, diriger la personne vers une ressource appropriée dans le réseau de la santé et des services sociaux ou vers une ressource communautaire. Toute personne résidant au Québec peut appeler pour elle-même ou pour un proche.
    24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
    Services offerts en français et en anglais.

 

[1]  : https://statistique.quebec.ca/fr/communique/les-aines-vivant-a-domicile-combien-sont-victimes-de-maltraitance-et-qui-sont-les-plus-susceptibles-den-subir

 

 

Bientraitance des Aînés : des Attitudes qui font la Différence

Bientraitance des Aînés : des Attitudes qui font la Différence

Selon une enquête menée au Québec, en 2019, près de 6% de la population âgée, soit environ 78 900 personnes, ont déclaré avoir été victime d’au moins un type de maltraitance au cours des 12 derniers mois [1]. Cette problématique requiert une attention urgente pour assurer la sécurité et le bien-être de nos aînés. 

Les principes fondamentaux de la bientraitance

Selon les recommandations du Ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS), la bientraitance repose sur six (6) principes fondamentaux :

  1. Placer la personne au centre des actions : la personne aînée juge si l’action accomplie ou suggérée lui convient, si elle est bientraitante pour elle.
  2. Favoriser l’autodétermination et le pouvoir d’agir chez la personne aînée afin de lui permettre de prendre en main le cours de sa vie, de faire des choix en harmonie avec ses valeurs, ses habitudes de vie, sa culture, etc.
  3. Respecter la personne et sa dignité afin qu’elle se sente considérée et qu’elle acquière son estime personnelle.
  4. Favoriser l’inclusion et la participation sociales pour apporter du bien-être aux personnes aînées qui souhaitent briser leur isolement et contribuer à la société.
  5. Déployer des actions et des interventions alliant compétence (savoir-faire) et jugement (savoir-être).
  6. Offrir un soutien concerté afin de poser les gestes les plus appropriés pour chaque dimension de la vie de la personne aînée, toujours en respectant le choix de cette dernière.

 

Quelques conseils pour garantir la bientraitance

Dans le cadre de la bientraitance envers les personnes âgées, il est essentiel de respecter quelques règles fondamentales :

  •    Discuter avec la personne âgée et l’écouter attentivement.
  •    Participer ensemble à des activités pour maintenir le lien social, notamment en favorisant les interactions intergénérationnelles.
  •    Éviter d’infantiliser la personne âgée et préserver sa dignité en adoptant un comportement respectueux.
  •    Accepter le senior tel qu’il est, en tenant compte de ses caractéristiques, de ses difficultés et de son état de santé, tout en évitant de bouleverser ses habitudes. La patience, le calme et la pédagogie sont essentiels.
  •     La frontière entre bientraitance et maltraitance est souvent mince, c’est pourquoi il est primordial de rester vigilant et de s’adapter aux besoins spécifiques de chaque personne âgée.

 

On pense à soi ! 

Soulignons l’importance pour les personnes proches aidantes de prendre également du temps pour eux-mêmes afin de préserver leur propre santé mentale. Prendre soin d’une autre personne peut être émotionnellement et physiquement éprouvant, et il est important que les personnes proches aidantes veillent à leur bien-être personnel. 

Cela peut inclure des moments de repos, de détente, des activités qui leur procurent du plaisir et du soutien social. À la Société d’Alzheimer de Montréal, nous avons mis à disposition un guide permettant aux proches aidants de se documenter et de trouver tous les outils nécessaires, ainsi que notre programmation offrant une palette d’activités rassembleuses. 

La bientraitance des aînés est un enjeu collectif qui nécessite la participation de tous. En travaillant ensemble pour promouvoir la bientraitance, nous pouvons aider à garantir la dignité, le respect et la qualité de vie qu’ils méritent.

[1]  : https://statistique.quebec.ca/fr/communique/les-aines-vivant-a-domicile-combien-sont-victimes-de-maltraitance-et-qui-sont-les-plus-susceptibles-den-subir

 

Pour un cerveau en santé

Pour un cerveau en santé

Agissez maintenant pour réduire vos risques
 
Au Québec, près de 170 000 personnes vivent avec la maladie d’Alzheimer et si nous suivons la courbe démographique, c’est 360 000 Québécois(es) qui vivront avec un trouble neurocognitif d’ici 2050.
 
Mais l’étude majeure, publiée par Alzheimer Canada en septembre 2022, explique que nous pouvons agir à tout âge et réduire nos risques.
 
📝Dans le cadre du mois de la sensibilisation à la maladie d’Alzheimer, nous vous proposons un aide-mémoire des 10 actions à privilégier pour un 🧠 en santé !
 

Sciences dures et compétences douces : Les travailleurs des soins à domicile ont besoin des deux

Sciences dures et compétences douces : Les travailleurs des soins à domicile ont besoin des deux

Par Andrew De Four, président, Soins à domicile personnalisés

L’évaluation était terminée, et le rendez-vous pris. Mais lorsque Maggie, notre directrice des soins, a sonné à la porte, la dame âgée n’avait qu’une chose à dire : « Va-t’en ! ». Maggie avait déjà vécu cela auparavant, alors sur un ton inquisiteur elle attire l’attention de la femme sur autre chose : « Ce sont de magnifiques peintures sur votre mur. Pouvez-vous m’en parler ? ». Quelques instants plus tard, les deux femmes étaient assises sur le canapé, Maggie écoutant des histoires à propos de l’art chéri.

Il est bien sûr essentiel que les aides à domicile soient bien formées et connaissent les derniers développements en matière de soins aux personnes atteintes de démence. Mais ils doivent également posséder des compétences qui ne figurent sur aucun diplôme : L’empathie, la patience et la compassion, ainsi qu’une bonne compréhension de la manière de les appliquer lors de la prise en charge d’une personne atteinte de démence.

S’ils n’ont pas la bonne approche et le bon tempérament, les aidants peuvent provoquer de l’anxiété, ce qui conduit à un jumelage infructueux et renvoie une famille dans le besoin à la case départ. Le métier d’aidant est une vocation difficile qui exige une grande capacité d’adaptation. Il est donc essentiel de rechercher un fournisseur de soins à domicile qui privilégie l’attitude et l’expérience.

Un bon soignant garde le contact visuel et sourira, et sait reconnaître quand un regard fixe devient un regard irrité, signalant un changement d’humeur. Son langage corporel est ouvert et détendu. Et si la vue ou l’ouïe est réduite, elle sait quand rester dans le champ de vision de l’être cher et quand s’approcher pour éviter de provoquer une réaction de peur. Elle parle calmement et doucement et mesure son ton pour obtenir le résultat souhaité. Elle donne des instructions simples, accompagnées de gestes, puis laisse le temps à la personne de traiter l’information et de répondre. Elle répète les instructions aussi souvent que nécessaire. Et comme je l’ai mentionné au début, elle connaît l’art de la réorientation, pour éviter les conflits inutiles. Et elle répond à chaque question répétée comme si c’était la première fois qu’elle était posée.

Un bon aidant connaît les diverses façons dont la maladie peut se manifester et l’importance des routines. Elle connaît des concepts comme le « sundowning » et sait comment gérer l’irritabilité et la confusion qui peuvent s’aggraver le soir, provoquant l’errance et un mauvais sommeil. Elle sait que le fait d’éviter les siestes et la caféine pendant la journée et d’avoir un horaire de sommeil prévisible peut faire une grande différence. Et elle sait quand il faut participer à une perception erronée de la réalité ou la laisser se dérouler sans la remettre en question ou la critiquer.

Les personnes atteintes de démence refusent souvent des choses dont elles ont besoin. Ils refusent de prendre leurs médicaments, de prendre une douche ou de laisser entrer un aidant à leur domicile. Mais l’aidant doit abandonner le « non » de son propre vocabulaire, pour éviter de mettre l’être cher, qui est un adulte, sur la défensive. Elle doit plutôt s’efforcer de créer un lien.

En fin de compte, tout se résume à la dignité. Donner à l’être cher et à sa famille la possibilité de se détendre un peu, parce qu’ils se sentent en sécurité. Chez Soins à domicile personnalisés, « votre famille est la nôtre », et lorsque quelqu’un appelle, nous décrochons le téléphone et sommes prêts à écouter et à adapter un programme de soins à leurs besoins. Il s’agit d’une relation, et nous travaillons sans relâche pour qu’elle dure.

Joignez l’équipe qualifiée et expérimentée de Soins à domicile personnalisés en appelant le (514) 418-0520 ou en visitant le site web customizedhomecare.ca

Mon frère aîné, Stefano, est une personne extraordinaire !

Mon frère aîné, Stefano, est une personne extraordinaire !

« En janvier 2020, mon frère a soudainement perdu la mémoire à court terme, et est devenu totalement dépendant de moi pour être sa mémoire afin de réaliser des choses très simples du quotidien.

Dr Doell, médecin spécialisé en gériatrie, et médecine interne, à l’hôpital général de Montréal, lui a diagnostiqué un trouble neurocognitif, apparenté à l’Alzheimer, et heureusement, il a appelé la Société Alzheimer de Montréal.

Les intervenants ont été extraordinaires depuis ce premier contact, en offrant toutes sortes de soutien.

Grâce à ces soins à domicile, ce que la Société Alzheimer de Montréal a fait pour nous, ça n’a pas de prix !

J’ai aussi eu la chance de discuter avec Naima, conseillère à la Société Alzheimer de Montréal. Elle a été un joyau ! Ces discussions avec Naima sont d’excellentes séances de soutien pour moi et ça m’a donné la force et le courage de continuer.

C’est pourquoi j’écris aujourd’hui ce témoignage sur cette formidable organisation qu’est la Société Alzheimer de Montréal et pour tout ce qu’elle fait pour moi, pour mon frère et, j’en suis sûr, pour des milliers d’autres Montréalais. »

— Clare, proche-aidante

Faites un don pour que la Société Alzheimer de Montréal continue à offrir du répit à domicile et du soutien à Clare et à son frère Stefano ainsi qu’à d’autres personnes atteintes de troubles neurocognitifs et à leurs personnes proches aidantes.

Roche, un partenaire indispensable pour le 3e colloque annuel de la famille Barclay

Roche, un partenaire indispensable pour le 3e colloque annuel de la famille Barclay

Roche, un partenaire indispensable pour le 3e colloque annuel de la famille Barclay

La Société Alzheimer de Montréal tient à remercier Roche en tant que partenaire lors du 3e colloque annuel de la famille Barclay qui fut un succès avec 200 participants.

Roche est une pionnière à l’échelle mondiale dans les domaines pharmaceutique et diagnostique, qui est déterminée à faire avancer la science pour améliorer la vie des gens. L’amélioration de la qualité et de la durée de vie des patients, grâce aux progrès de la science, est au cœur de ses préoccupations. Rassemblant des compétences pharmaceutiques et diagnostiques sous un même toit, Roche est le leader de la médecine personnalisée, approche permettant de proposer le meilleur traitement possible à chaque patient.

Depuis sa fondation en 1931, Roche Canada mène des recherches pour mieux prévenir, diagnostiquer et traiter les maladies, et ainsi apporter une contribution durable à la société. L’entreprise compte aujourd’hui plus de 1 200 employés dans l’ensemble du pays au sein de sa division pharmaceutique à Mississauga, en Ontario, et de ses divisions Diagnostics et Soins du diabète à Laval, au Québec.

Roche est la plus grande compagnie de biotechnologie au monde, offrant une variété de produits qui se distinguent véritablement en oncologie, en immunologie, dans le traitement des maladies infectieuses, en ophtalmologie et dans les troubles du système nerveux central. Roche est également le leader mondial dans le diagnostic in vitro et du cancer à partir d’échantillons tissulaires, et un chef de file dans la prise en charge du diabète.

En plus de son portefeuille de médicaments et de produits diagnostiques, les neurosciences comptent parmi les principaux axes de recherche-développement étudiés par Roche. Nous avons pour objectif de réaliser des travaux scientifiques révolutionnaires afin de mettre au point de nouveaux traitements destinés à améliorer la vie des personnes qui souffrent de maladies chroniques dont les conséquences peuvent être terribles.

S’appuyant sur notre longue tradition de transformation des connaissances scientifiques en médicaments novateurs, nos chercheurs créent de nouvelles technologies pour comprendre comment la maladie d’Alzheimer se développe et évolue. Nous sommes déterminés à développer de nouvelles solutions de soins de santé diagnostiques, thérapeutiques et holistiques pour les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Dans la mise au point de nouveaux médicaments, notre approche consiste à « écouter et apprendre » pour nous assurer de la participation constante des collectivités. Nous comptons dès les premiers stades sur la collaboration continue du milieu pour que le système de santé soit en mesure d’offrir aux patients les meilleurs soins possibles le plus rapidement possible.

Roche souhaite améliorer l’accès aux produits de l’innovation médicale en collaborant avec tous les intervenants concernés. Roche Canada participe activement à la vie des collectivités par ses contributions caritatives et ses partenariats avec des organismes et des établissements de santé qui œuvrent ensemble à améliorer la qualité de vie des Canadiens. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter www.RocheCanada.com.

Par Brendan Billa

Le 3e Colloque annuel de la famille Barclay soutenu par le Manoir Claudette Barré

Le 3e Colloque annuel de la famille Barclay soutenu par le Manoir Claudette Barré

Le Manoir Claudette Barré est une résidence privée pour ainés autonomes (RPA) et semi autonomes qui offre à tous ses résidents et ses résidentes un chez-soi de qualité ainsi que des avantages indéniables quant à l’accessibilité, le confort et la sécurité

Dument accrédité depuis novembre 2009, nous travaillons d’abord et avant tout pour le bien-être de nos résidents en mettant l’accent sur le respect de la personne, le travail d’équipe et l’empathie. Nous priorisons la qualité de vie de nos résidents et visons à combler leurs besoins avec compétence, compréhension et cordialité.

Les ainés en perte d’autonomie ou atteints de la maladie d’Alzheimer peuvent intégrer des unités spécialisées où l’on offre un suivi et des soins adaptés selon les besoins de chacun, et ce sous l’œil attentif d’une équipe humaine et qualifiée. Afin d’assurer un environnement chaleureux et sécuritaire, le Manoir Claudette Barré a récemment ouvert une aile dans laquelle nous souhaitons nous inspirer des principes du concept Montessori en proférant des soins centrés sur la personne, dans le but de ralentir la perte d’autonomie du résident atteint de la maladie d’Alzheimer et de préserver ses capacités cognitives le plus longtemps possible.

Pour le Manoir Claudette Barré, soutenir la Société Alzheimer de Montréal, c’est permettre à nos équipes de soins de partager leurs expériences et d’accroitre leurs compétences dans le domaine, afin d’assurer un service de qualité exceptionnel et d’offrir les meilleures techniques de soins auprès de nos résidents, les proches aidants et les familles. De plus, pour l’équipe de gestion, ce partenariat avec la Société Alzheimer de Montréal vise à optimiser nos soins, à parfaire nos connaissances dans le domaine du vieillissement et à mieux s’outiller, tout en innovant pour le bien-être de nos résidents.

Le Manoir Claudette Barré est fier de soutenir les initiatives et la mission de la Société Alzheimer de Montréal en devenant Grand Partenaire de la 3e édition du Colloque annuel de la famille Barclay, qui aura lieu en ligne le 25 janvier prochain, sous le thème: Mieux vivre avec un trouble neurocognitif : pratiques novatrices d’ici et d’ailleurs.

Par Brendan Billa

Référence aidance Québec : enfin un outil pour référer au plus vite les personnes proches aidantes

Référence aidance Québec : enfin un outil pour référer au plus vite les personnes proches aidantes

Identifier et référer les personnes proches aidantes d’aînés sera désormais plus simple et plus rapide pour les professionnel·les de la santé.

 

Référence aidance Québec, un nouvel outil porté par le gouvernement du Québec, l’Appui pour les proches aidants et la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer, est lancé ce mercredi 8 décembre

Tous ensemble, pour un accompagnement précoce
Les meilleures pratiques recommandent une orientation rapide des aidantes et aidants et de leurs aidé.es vers les services répondant à leurs besoins. Or, les personnes proches aidantes ne ressentent pas toujours le besoin de demander du soutien, surtout en début de parcours et courent le risque de s’épuiser. Dans cet objectif, Référence aidance Québec met à la disposition des professionnel.les au contact des personnes proches aidantes un nouvel outil de référencement en ligne: referenceaidancequebec.ca

Par Brendan Billa

Alzheimer précoce : 10 symptômes à reconnaître

Alzheimer précoce : 10 symptômes à reconnaître

Connaissez-vous les 10 symptômes précurseurs de la maladie d’Alzheimer?
(Alzheimer précoce)

Les symptômes de l’Alzheimer précoce peuvent être nombreux, voici la liste des plus fréquents qui peuvent annoncer un début d’Alzheimer.

Alzheimer Precoce : 10 symptomes à reconnaitre

1. Perte de mémoire affectant les habiletés usuelles
Il est normal d’oublier parfois un rendez-vous, le nom d’un collègue ou un numéro de téléphone, et de s’en souvenir plus tard. La personne atteinte de la maladie d’Alzheimer oubliera plus fréquemment ou aura de la difficulté à se rappeler une information récente.

2. Difficulté à exécuter des tâches familières

Il arrive aux gens très occupés d’être tellement distraits qu’ils oublient de servir une partie du repas, ce dont ils ne se souviendront que plus tard. Par contre, une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer peut avoir de la difficulté à s’acquitter de tâches qu’elle a accomplies toute sa vie, comme préparer un repas ou jouer à un jeu de société.

3. Troubles du langage

Tout le monde a parfois de la difficulté à trouver le mot juste, mais la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer peut oublier des mots faciles ou leur substituer d’autres mots, ce qui rendra ses phrases difficiles à comprendre.

4. Désorientation dans l’espace et dans le temps

Il est normal d’oublier le jour de la semaine ou même sa destination. Pendant un instant seulement! La personne atteinte de la maladie d’Alzheimer, elle, risque de se perdre dans sa propre rue, ne sachant plus comment elle s’y est rendue ni comment rentrer chez elle.

5. Jugement affaibli

Il arrive à tout le monde de prendre des décisions discutables, comme de remettre à plus tard un rendez-vous chez le médecin pour traiter une infection. La personne atteinte de la maladie d’Alzheimer peut faire preuve d’un jugement affaibli ou erroné. Par exemple, ne pas reconnaître un problème de santé qui nécessite une attention immédiate, ou porter des vêtements chauds en pleine canicule.

6. Difficulté face aux notions abstraites

Toute personne peut éprouver de la difficulté à effectuer des opérations faisant appel à la pensée abstraite, par exemple, établir le solde de son compte bancaire. Toutefois, la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer précoce éprouvera de grandes difficultés à accomplir ce genre de tâches, au point de ne pas comprendre ce que représentent les chiffres ni à quoi ils servent, par exemple.

7. Objets égarés 

N’importe qui peut égarer temporairement son porte-monnaie ou ses clés, mais la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer rangera les objets dans des endroits inappropriés (un fer à repasser dans le congélateur ou une montre dans le sucrier).

8. Changements d’humeur ou de comportement

Il nous arrive à tous d’être parfois triste ou maussade, mais la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer peut changer d’humeur très rapidement, par exemple, passer du calme aux larmes puis à la colère, sans raison apparente.

9. Changements de personnalité

La personnalité de chacun peut changer de façon subtile avec l’âge. La personne atteinte de la maladie d’Alzheimer, quant à elle, peut présenter des changements de personnalité beaucoup plus frappants. Comme, par exemple, devenir confuse, renfermée et méfiante. Au nombre des changements possibles, on compte aussi l’apathie, la peur et les comportements inhabituels.

10. Perte d’intérêt

Il nous arrive à tous, à l’occasion, de nous lasser du ménage, de notre travail ou de nos obligations sociales, mais la plupart d’entre nous retrouvent leur enthousiasme. Or, la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer risque de devenir passive et apathique… Elle peut avoir besoin de beaucoup d’encouragements pour prendre part aux activités.

 

Si vous pensez être atteint d’Alzheimer précoce, lisez tout d’abord la page Je vis avec l’Alzheimer ou contactez-nous. Pour plus d’informations sur les différents aspects de la maladie d’Alzheimer, retrouvez notre Guide de ressources de la maladie d’Alzheimer.

Aujourd’hui, la Société Alzheimer de Montréal demeure la référence à Montréal pour les personnes atteintes d’une maladie neurocognitive, proches aidants, professionnels de la santé, organismes, et des individus à la recherche de ressources et de services.

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Par Brendan Billa

Envoyez une carte de vœux virtuelle en soutien à la Société Alzheimer de Montréal

Envoyez une carte de vœux virtuelle en soutien à la Société Alzheimer de Montréal

Faites un geste digne de mémoire: envoyez une carte de voeux virtuelle à un être cher par courriel!

Par Brendan Billa

Sélectionnez une carte parmi les oeuvres créées par nos participants et participantes des séances d’art-thérapie dédiées aux personnes atteintes d’un trouble neurocognitif.

Vous pourrez ajouter un mot personnalisé à l’intérieur de la carte et l’envoyer à son destinataire par courriel. Un belle pensée pour un être cher, tout en soutenant une cause importante!

Les fonds provenant des ventes de ces cartes virtuelles sont consacrés aux services destinés aux personnes atteintes et leurs proches aidants. Vous recevrez un reçu d’impôt pour la totalité du montant de l’achat de votre carte.

Les ateliers d’art-thérapie permettent aux personnes atteintes d’un trouble neurocognitif de s’engager dans un projet, d’exercer leur autonomie, de vivre des émotions positives et de s’exprimer à travers l’art. Nous vous invitions à visionner le vernissage virtuel présentant les oeuvres réalisées par les participants lors des ateliers d’art-thérapie en 2021.

3ème Colloque annuel de la famille Barclay le 25 janvier 2022

3ème Colloque annuel de la famille Barclay le 25 janvier 2022

  3eme colloque annuel de la famille Barclay

 

Une journée de conférences et d’atelier, dédiée aux avancées scientifiques concernant la maladie d’Alzheimer

Par Brendan Billa

Le mardi 25 janvier 2022, la Société Alzheimer de Montréal tiendra la troisième édition du colloque annuel de la famille Barclay, qui aura lieu EN LIGNE de 8h30 à 16h30.

Pourquoi participer au colloque ?

• Pour vous informer quant aux meilleures pratiques en matière d’approche centrée sur la personne atteinte et de leurs proches aidants
• Pour connaître les tendances en matière de prévention et de détection précoce de la maladie
• Pour le partage d’expérience dans le domaine, entre pairs
• Pour échanger avec d’autres professionnels de la santé, mais aussi avec des scientifiques qui nous poussent à réfléchir afin d’améliorer nos approches et nos connaissances actuelles.

Une programmation détaillée et l’ouverture des inscriptions seront annoncées sous peu.

Au plaisir de vous y accueillir !

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Notre premier article dans le magazine Montréal enSANTÉ: Un diagnostic difficile

Notre premier article dans le magazine Montréal enSANTÉ: Un diagnostic difficile

Un diagnostic difficile

LES IMPACTS MULTIDIMENSIONNELS D’UN DIAGNOSTIC D’ALZHEIMER ET DES TROUBLES NEUROCOGNITIFS. COMMENT LES SURMONTER?

Par Sarah Djimani et collaborateurs de la Société Alzheimer de Montréal

Nous sommes très heureux de vous présenter notre premier article dans le prestigieux magazine Montréal enSANTÉ ! Dans cette édition, Sarah Djimani et des collaborateurs de la Société Alzheimer de Montréal mettent en lumière les impacts multidimensionnels d’un diagnostic de maladie d’Alzheimer.

Au cours des prochains mois, la Société Alzheimer de Montréal publiera différents articles dans le magazine Montréal enSANTÉ sur diverses thématiques en lien avec les troubles neurocognitifs. Nous aurons aussi l’opportunité de collaborer avec différents experts qui vous partageront leurs connaissances sur les sujets traités.

Nous espérons, en collaboration avec Montréal enSANTÉ, que nous pourrons atteindre un large public au Québec afin de sensibiliser la population aux troubles neurocognitifs. 

Pour consulter l’article, cliquez ici.

Le magazine Montréal enSANTÉ est disponible en ligne et dans les endroits suivants:

  • CLSC et cliniques privées
  • Pharmacies : Jean Coutu, Pharmaprix, Proxim, Uniprix, Familiprix, Brunet
  • Épiceries : Avril Santé, TAU, Métro, IGA, Provigo, Super C, Adonis, Rachelle-Béry, Naturiste
  • Gymnases et spas 

Montréal enSanté, l’unique magazine bilingue au Québec portant sur la santé et le bien-être

Montréal enSanté (MES) regorge de conseils d’experts tels que médecins, diététistes, entraîneurs et simples amoureux de notre ville à tous. En plus des articles axés sur la santé, la nutrition, et la remise en forme, chaque numéro comprend une section entière consacrée aux soins cliniques novateurs et à la recherche de pointe qui ont lieu au Centre universitaire de santé McGill. Chaque numéro fait l’objet d’une publicité sur les ondes de CJAD et The Beat pendant une période de deux semaines au cours de laquelle les auditeurs sont avisés d’aller ramasser leurs exemplaires gratuits. Tous les numéros sont affichés en ligne sur montrealensante.com et cusm.ca.

Merci à notre partenaire Montréal enSANTÉ

Yoga du rire : joie et bien-être !

Yoga du rire : joie et bien-être !

Yoga du rire: joie et bien-être!

Par Aileen Borruel

Vous souhaitez débuter votre lundi matin dans la bonne humeur? Que diriez-vous d’essayer une activité amusante, interactive et sans prétention qui permet de se connecter avec les autres et soi-même par le rire? Si vous n’avez encore jamais entendu parler du Yoga du Rire, voici votre chance de découvrir une activité qui contribuera à améliorer votre bien-être et à développer la joie!

Qu’est-ce que le Yoga du rire et à quoi puis-je m’attendre lors d’une séance?

Le Yoga du Rire est une activité unique où tout le monde peut se permettre de rire librement sans contrainte, et sans compter sur des blagues ou des textes humoristiques. Ce concept combinant le rire et des exercices de respiration conscientes a été développé en Inde en 1995 par le docteur Madan Kataria. Nous savons tous à quel point un bon fou-rire nous fait du bien, mais saviez-vous que le rire apporte aussi de nombreux bienfaits sur la santé physique et mentale? Rire apporte plus d’oxygène au cerveau, fait baisser la tension artérielle, améliore la circulation sanguine et réduit le stress et les tensions musculaires. Rire permet aussi de se sentir mieux connectés avec soi et les autres et accroit l’énergie, la créativité et la bonne humeur. Les recherches ont démontré que les adultes rient en moyenne 10 à 15 fois par jour, alors que les enfants rient jusqu’à 300 fois par jours. Nous pourrions certainement bénéficier de plus de rire et de joie dans nos vies!

En tant que professeure de Yoga du Rire, je m’assure d’offrir aux participants un environnement confortable et sans jugement où tout le monde peut se sentir à l’aise. Tout au long de la session, je vous invite à essayer une variété d’exercices de réchauffement, d’applaudissements rythmiques, de rire et de respirations guidées.

Ces séances de Yoga du Rire nous permettent de libérer le stress et les tensions, de relâcher notre garde, de s’amuser et d’être soi-même. Ensemble, nous partageons des moments ludiques et spontanés menant à des fous rires contagieux. Cette pratique permet de ressentir une énergie positive et de libérer de l’endorphine, l’hormone du bonheur.

Depuis un an maintenant que j’ai le privilège d’offrir le cours de Yoga du Rire à la communauté de la Société Alzheimer de Montréal dans le cadre de l’étude avec le programme Ce qui Nous Lie. Travailler avec les personnes atteintes de troubles neurocognitifs et les proches aidants est pour moi une merveilleuse expérience. Dès le moment où j’allume Zoom et que j’y vois des sourires et des visages heureux, je suis envahi par un sentiment de joie. J’adore l’énergie, l’enthousiasme et l’ouverture des participants qui sont toujours prêts à se laisser aller et à vivre l’expérience du Yoga du Rire.

Le Yoga du Rire, c’est aussi vivre dans le moment présent. L’une des moments les plus mémorables dans le cadre de nos pratiques fut lorsque deux couples de participants, dansant au rythme de la chanson ‘’ La Vie en Rose’’ d’Edith Piaf, se regardaient dans les yeux et riaient ensemble, tendrement. Dans nos séances, il ne s’agit pas seulement de rire, mais de connexion humaine et d’authenticité.

Cet automne, joignez-vous à nous pour des séances virtuelles de Yoga du Rire, tous les lundis de 10 h 30 à 11 h 30 afin de cultiver la joie et de retrouver le plaisir de rire, tout simplement!  

BIOGRAPHIE

Aileen Borruel est la fondatrice et propriétaire de Joyful Connections, animatrice d’ateliers et mère de 4 enfants.Elle détient un BAC en travail social et un DEC en technique d’éducation spécialisée.

Nous espérons que cet article de blogue vous a plu !

Si vous avez des questions ou désirez partager vos commentaires avec notre équipe, vous pouvez nous écrire à l’adresse suivante : [email protected]

Les Anciens Canadiens et la maladie d’Alzheimer : témoignage de Denis, fils de Henri Richard

Les Anciens Canadiens et la maladie d’Alzheimer : témoignage de Denis, fils de Henri Richard

Bienvenue au blogue de la
Société Alzheimer de Montréal !

Édition #11

Août 2021

Auteur :

DENIS RICHARD

Fils de Henri Richard, le « Pocket Rocket »

 

Pour en savoir plus sur le Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake présenté par Raymond James Canada Ltd., cliquez ici

Découvrez les histoires des Anciens Canadiens de Montréal et leur famille qui composent, eux aussi, avec la maladie d’Alzheimer ou un autre trouble neurocognitif.

Tout le monde connaît mon père. Il a gagné 11 coupes Stanley en tant que joueur et capitaine du Canadiens de Montréal. Ça vous dit quelque chose Henri Richard, le « Pocket Rocket »?

Lui, ne se souvient de rien. Il ne me reconnaît même plus.

Lorsque les premiers signes de la maladie sont apparus mon père niait tout. Mon père était un guerrier, un vrai. Rien ne lui faisait peur lorsqu’il sautait sur la glace. Mais être imperturbable ne change rien face à la maladie d’Alzheimer.

Tout a commencé avec quelques gestes inhabituels et des crises d’anxiété. C’était périodique, mais ça revenait de plus en plus souvent. Éventuellement, ma mère s’est rendue compte que mon père oubliait des choses.

Mon père ne parlait pas beaucoup et ne montrait pas vraiment ses émotions. Un jour, ma mère l’a retrouvé seul en larmes, lui qui prenait conscience de ce qui lui arrivait. Peu à peu, il perdait tout: son permis de conduire, son autonomie, sa personnalité, son amour et sa mémoire.

Mes parents se connaissent depuis l’âge de 6 ans. La séparation fut douloureuse pour ma mère; son mari devrait quitter la maison pour de bon. Bien plus que des amoureux, ils étaient des compagnons de vie.

Il arrive qu’il se souvienne de nous durant quelques secondes, mais ces courts instants sont insuffisants pour être un baume sur nos cœurs. Heureusement, son histoire et ses exploits survivent dans nos souvenirs, les miens comme les vôtres.

L’histoire de mon père en est une parmi tant d’autres. Aidez-nous à bâtir l’espoir pour les centaines de milliers de Canadiens touchés par la maladie d’Alzheimer.

Voilà pourquoi vos dons à la Société Alzheimer de Montréal sont si importants. Ils permettent à la Société d’offrir des services de qualité aux personnes atteintes et leurs proches aidants, avec une approche centrée sur la personne. Grâce à vous, plus de 33 000 personnes de Montréal se verront offrir support et soutien face à la maladie d’Alzheimer.

Aidez-nous dès maintenant afin que nous puissions offrir de l’aide aux familles affectées par cette terrible maladie.

En vous remerciant sincèrement,

Denis Richard

P.S. Votre don aide à bâtir l’espoir pour ceux qui ne se souviennent même plus de ce que cela signifie.

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Tournoi de golf 2021 : venez jouer avec les légendes des Canadiens de Montréal !

Tournoi de golf 2021 : venez jouer avec les légendes des Canadiens de Montréal !

Bienvenue au blogue de la
Société Alzheimer de Montréal !

 

Édition #10

Juillet 2021

 

Pour en savoir plus sur le Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake présenté par Raymond James Canada Ltée.

4 bonnes raisons pour participer au Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake !

1. Jouer au golf avec vos héros du Canadien !

Chaque année, des légendes des Canadiens de Montréal participent au Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake présenté par Raymond James Ltée.

Inscrivez-vous au Tournoi et venez rencontrer vos héros au Club de golf Summerlea le mercredi 25 août prochain !

Vous aurez l’occasion de prendre des photos avec des vedettes comme Réjean Houle (voir photo à droite) !

2. Faire du réseautage dans un environnement resplendissant !

Le Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake présenté par Raymond James Ltée. est une occasion formidable d’élargir votre réseau d’affaires.

Inscrivez-vous au Tournoi et faites du réseatuage avec des gens d’affaires du Grand Montréal dans un environnement resplendissant !

3. Prendre une pause !

« Pour prendre soin des autres, il faut d’abord prendre soin de soi. »

Ce conseil est très important pour les proches aidants de personnes atteintes d’un trouble neurocognitif.

Inscrivez-vous au Tournoi et prenez du temps pour vous ressourcer en participant à une activité amusante avec des gens qui partagent votre réalité !

4. Soutenir la cause !

Vous ne jouez pas au golf…

Vous pouvez tout de même faire un don en soutien à la cause en cliquant sur le bouton plus bas !

Les fonds recueillis lors du Tournoi de golf des célébrités Hector « Toe » Blake présenté par Raymond James Ltée. subventionnent des programmes et services de la Société Alzheimer de Montréal destinés à nos clients et leurs proches aidants.

Faites un don ou inscrivez-vous au Tournoi afin de contribuer à assurer la pérennité de nos services !

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Vernissage 2021 : « Un village pour rester connecté » !

Vernissage 2021 : « Un village pour rester connecté » !

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Société Alzheimer de Montréal !

Édition #9

Juillet 2021

Auteure :

ANNE-LAURENCE MONGRAIN

Art-thérapeute

 

Chaque année, l’équipe de la Société Alzheimer de Montréal organise une exposition des œuvres créées par ses participants en art-thérapie.

Nous vous invitons à visionner la vidéo plus bas le l’exposition « Un village pour rester connecté », qui a été présentée pour la première fois le jeudi 17 juin 2021.

 

Un village pour rester connecté

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Ma Santé Cognitive : l’importance de l’activité physique !

Ma Santé Cognitive : l’importance de l’activité physique !

La Société Alzheimer de Montréal, en partenariat avec le Gouvernement du Québec et le programme Québec ami des aînés (QADA), présente le projet « Ma Santé Cognitive ». 

« Ma Santé Cognitive » est un effort concret pour la prévention et le maintien de la santé cognitive des aînés montréalais.

Nous vous invitons à visionner nos cinq capsules vidéo afin de découvrir comment vous pouvez mettre les chances de votre côté dans la prévention des troubles neurocognitifs.

 

2. Activité physique

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Ma Santé Cognitive : l’importance de la nutrition !

Ma Santé Cognitive : l’importance de la nutrition !

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Édition #7

Juin 2021

Auteure :

Sarah Djimani

Agente de sensibilisation

Pour en savoir plus sur le projet « Ma Santé Cognitive », téléchargez la trousse à outils en cliquant ici

Vous pouvez également consulter leur page Instagram : www.instagram.com/masantecognitive.

La Société Alzheimer de Montréal, en partenariat avec le Gouvernement du Québec et le programme Québec ami des aînés (QADA), présente le projet « Ma Santé Cognitive ». 

« Ma Santé Cognitive » est un effort concret pour la prévention et le maintien de la santé cognitive des aînés montréalais.

Nous vous invitons à visionner nos cinq capsules vidéo afin de découvrir comment vous pouvez mettre les chances de votre côté dans la prévention des troubles neurocognitifs.

 

1. Nutrition

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Pourquoi l’art-thérapie à la Société Alzheimer de Montréal ?

Pourquoi l’art-thérapie à la Société Alzheimer de Montréal ?

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Société Alzheimer de Montréal !

Édition #6

Septembre 2019

Auteure :

Marie-Soleil Blanchet

Art-thérapeute, MA

Pour en savoir plus sur les ateliers d’art-thérapie offerts par la Société Alzheimer de Montréal, consultez la section « Je vis avec l’Alzheimer » du site Internet.

Nous pouvons tous et toutes réaliser un dessin ou un collage chez soi, mais plusieurs aspects importants prennent forme lorsqu’on parle d’art dans un contexte thérapeutique : le cadre sécuritaire, les objectifs cliniques, la relation thérapeutique et les liens qui se tissent. L’art-thérapie s’avère une avenue d’expression accessible à une variété de clientèles, dont les personnes qui vivent avec un diagnostic de maladie d’Alzheimer et maladies apparentées.

J’ai observé plusieurs bienfaits chez notre clientèle. D’abord, l’action de créer sollicite les forces et les habilités de la personne dans un contexte d’échanges et de confiance. Cela permettrait à chaque personne de vivre des expériences positives et des opportunités de réussites, ce qui génèrerait un sentiment de fierté et de satisfaction. Ensuite, un processus créatif permet de stimuler ses capacités neurologiques, cognitives, émotionnelles, psychomotrices et relationnelles. L’art-thérapeute pourra évaluer les besoins et capacités de chaque personne et ajuster les interventions en vue d’optimiser l’expérience thérapeutique de chacun et chacune. D’autant plus, en art-thérapie, on vise à instaurer un espace à l’abri du jugement. Qu’est-ce que cela signifie? L’espace de création est un lieu qui se veut bienveillant, chaleureux, et ce, quelle que soit l’émotion exprimée, car elles sont toutes importantes, tant la tristesse, l’enthousiasme et la colère. Cette façon d’être chez l’intervenant.e. vise à accueillir la personne dans sa totalité. Il s’agit d’un lieu dans lequel n’y a aucune attente, tant envers soi que la création artistique, car nous valorisons tout autant l’expérience de la personne que l’œuvre qui a été créée. Autrement dit, aucun jugement ni commentaire esthétique n’est accolé au résultat, mais plutôt un regard curieux et accueillant sur ce que la personne a exprimé.

À la Société Alzheimer de Montréal, nous valorisons une approche d’intervention humaniste, centrée sur la personne. En effet, nous ajustons les interventions aux besoins de chaque personne, et ce, dans le moment présent, selon ce qu’elle vit et ce qu’elle a vécu. Plus précisément, les expériences de vie de chaque personne pourraient nous donner des pistes quant aux thèmes et matériaux touchant l’intérêt, l’expertise, le plein potentiel de la personne, mais aussi ce qui la touche et génère du sens pour elle. Par exemple, un participant qui aurait exercé la profession d’architecte pourrait trouver une satisfaction à bâtir ou imaginer des structures géométriques créatives. En art, une palette de possibilités s’offre à nous !

L’art-thérapie dans un contexte de groupe à la Société Alzheimer de Montréal pourrait être une forme de soutien, une avenue d’expression sécuritaire, libre et spontanée. Notons toutefois qu’il n’est pas nécessaire de verbaliser ou de comprendre toutes les symboliques et significations dans son image pour que l’expérience soit positive. Lorsqu’on s’exprime par un dessin, un collage ou une peinture en art-thérapie, même en l’absence de mots, on peut se sentir soulagé, écouté, vu et entendu; des besoins essentiels pour un bien-être.

Comment savoir si l’art-thérapie est pour vous ?

Un simple essai peut vous en informer davantage!

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Stratégies de planification financière 2019 pour les aînés

Stratégies de planification financière 2019 pour les aînés

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Édition #5

Août 2019

Auteur :

Gabriel Flores

Conseiller en placement

La préservation et l’accroissement du patrimoine pourraient passer par l’utilisation de stratégies de planification fiscale et successorale et de stratégies de placement qui correspondent à votre situation et vos objectifs. Bien que certaines de ces stratégies puissent être mises en oeuvre en tout temps de votre vivant, d’autres ne pourront l’être qu’à 65 ans ou plus. Cet article traite de questions de planification financière destinées aux aînés et offre un aperçu des stratégies courantes.

Veuillez noter que toute mention de conjoint dans cet article réfère aussi bien à un conjoint légalement marié qu’à un conjoint de fait.

Fractionnement du revenu
  • Fractionnement du revenu de retraite : Si le taux marginal d’imposition de votre conjoint était moins élevé que le vôtre, vous pourriez songer à fractionner votre revenu de retraite admissible entre vous et votre conjoint afin deréduire votre impôt familial total. Le revenu de retraite admissible comprend, mais n’est pas limité aux versements d’une rente viagère provenant d’un régime de pension agréé et, si vous aviez 65 ans ou plus, les sommes retirées d’un FERR, d’un FRV, d’un FRVR, d’un FERRI ou d’un FERR prescrit. Les sommes retirées de votre REER ne sont pas considérées comme un revenu de retraite admissible. En général, vous pouvez attribuer à votre conjoint jusqu’à 50 % de votre revenu de retraite admissible. Veuillez noter que vous devez être âgé de 65 ans ou plus pour fractionner un revenu de retraite admissible aux fins de l’impôt du Québec.
  • Cotisation à un REER de conjoint : Si vous prévoyez que votre revenude retraite sera plus élevé que celui de votre conjoint, envisagez de cotiser à un REER de conjoint. Si vous aviez encore des droits de cotisation inutilisés et que votre conjoint avait moins de 71 ans, vous pourriez encore verser des cotisations à un REER de conjoint même si vous aviez plus de 71 ans. Vous pourriez déduire ces montants, qui pourraient contribuer à égaliser le futur revenu de retraite de votre famille, dans votre déclaration derevenus.
  • Partage de la rente de retraite : Si votre conjoint et vous aviez au moins 60 ans et receviez des prestations du Régime de pensions du Canada (RPC) ou du Régime de rentes du Québec (RRQ) ou y étiez admissibles, envisagez de partager votre rente avec votre conjoint. Service Canada ou Retraite Québec recalculerait les rentes qui vous sont versées à vous et à votre conjoint si vous demandiez de partager vos rentes de retraite. Le partage de la rente de retraite s’avérerait avantageux si vous pouviez faire en sorte qu’une partie de la rente du RPC ou du RRQ du conjoint au revenu plus élevé soit versée au conjoint au revenu moins élevé, de façon à ce qu’elle soit imposée entre ses mains.
Stratégies de réduction d’impôt
  • La cotisation REER oubliée : Si vous atteigniez 71 ans cette année et obteniez encore des droits de cotisation à un REER ou disposiez de droits inutilisés reportés, songez à verser une ultime cotisation à un REER (d’après votre revenu gagné de 2019) d’ici le 31 décembre 2019, soit avant la conversion du REER en FERR ou en une autre option à l’échéance d’un REER. Même si vous étiez alors assujetti à une pénalité de 1 % sur les cotisations excédentaires pour le mois de décembre, l’avantage lié au report d’impôt et à la croissance composée des fonds correspondants dans le FERR pourrait excéder la pénalité.
  • Cotisation à un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) : Envisagez de cotiser à votre CELI. Le plafond de cotisation annuel à un CELI pour 2019 est de 6 000 $. Si vous étiez admissible à ouvrir un CELI depuis 2009 mais que vous n’y aviez pas encore cotisé, votre limite de cotisation serait de 63 500 $ en date du 1er janvier 2019. Les revenus gagnés (y compris les gains en capital) dans le CELI et les sommes qui en sont retirées sont généralement libres d’impôt et ils n’ont aucun effet sur les prestations du gouvernement fédéral fondées sur le revenu, comme les prestations de la Sécurité de la vieillesse (SV) et du Supplément de revenu garanti (SRG). Les revenus gagnés ou les retraits que vous faites n’ont pas non plus d’incidence sur l’admissibilité aux crédits d’impôt fédéraux tels que le montant en raison de l’âge.Le CELI permet aussi de faire fructifier à l’abri de l’impôt des fonds dont vous n’avez pas besoin en ce moment. Par exemple, si vous n’utilisiez pas au complet les montants minimums qui doivent vous être versés d’un FERR pour régler vos dépenses, vous pourriez envisager de verser à votre CELI les sommes après impôt excédentaires.
  • Utilisation de l’âge du conjoint aux fins du calcul des montants minimums provenant d’un FERR : Avant la fin de l’année civile où vous atteignez 71 ans, vous devez convertir votre REER en FERR, utiliser les fonds qui s’y trouvent pour souscrire une rente ou les retirer sous la forme d’un paiement forfaitaire imposable. Vous pouvez avoir recours à n’importe laquelle de ces options ou vous pouvez choisir de combiner certaines de ces options. Si vous choisissiez de convertir votre REER en FERR, que votre conjoint était plus jeune que vous et que vous n’aviez pas besoin d’utiliser les montants obligatoires minimums annuels du régime devant vous être versées, songez utiliser l’âge de votre conjoint lorsque vous établirez le FERR afin de réduire les sommes assujetties à l’impôt qui en seront retirées.
Prestations gouvernementales
  • Sécurité de la vieillesse : Les prestations de la SV peuvent être versées à toute personne de 65 ans ou plus qui remplit les critères d’admissibilité. Le montant de vos prestations de la SV est en fonction du nombre d’années durant lesquelles vous avez vécu au Canada après 18 ans. Vous pouvez reporter le moment où vous commencez à recevoir les prestations de la SV jusqu’à cinq ans, ce qui vous permettra de toucher une prestation mensuelle majorée. La prestation maximale de janvier à mars 2019 est de 601,45 $ par mois en présumant que vous n’avez pas reporté vos paiements de PSV. Cette prestation fondée sur le revenu est récupérée au taux de 0,15 $ par dollar de revenu net supérieur à 77 580 $ et ferait l’objet d’une récupération intégrale dès que le revenu net atteint environ 126 000 $ si vous aviez droit au montant maximum de la SV et que vous n’aviez pas choisi d’en reporter la réception.Si votre prestation de la SV était récupérée cette année en raison d’un revenu anormalement élevé dans l’année précédente attribuable à une opération imposable non-récurrente (par exemple, une indemnité importante de cessation d’emploi ou un gain en capital appréciabler éalisé à la vente d’une entreprise ou d’une propriété), vos prestations de la SV seraient également réduites. Si vous prévoyiez que votre revenu net pour cette année sera sensiblement inférieur à celui de l’année précédente, vous pourriez présenter une demande à l’Agence du revenu du Canada (ARC) afin que Service Canada réduise les montants qui seront prélevés sur vos prestations de la SV. Pour ce faire, remplissez le formulaire de l’ARC T1213(OAS), Demande de réduction des retenues d’impôt de récupération sur la pension de la sécurité de la vieillesse.
  • Régime de pensions du Canada et Régime de rentes du Québec : Si vous aviez déjà travaillé au Canada, vous pourriez avoir droit aux prestations du RPC ou du RRQ. Le montant de ces prestations est en fonction des cotisations que vous avez versées au régime et n’est pas fondé sur le revenu. Vous pouvez commencer à recevoir une prestation mensuelle du RPC ou du RRQ dès 60 ans, mais elle sera alors réduite d’un certain pourcentage pour chaque mois précédant votre 65e anniversaire. Vous pouvez aussi choisir de reporter le moment où vous commencerez à recevoir une rente du RPC ou du RRQ afin de toucher une prestation mensuelle plus élevée. Votre rente augmentera alors d’un certain pourcentage pour chaque mois de report suivant votre 65e anniversaire, jusqu’à l’âge de 70 ans. Pour des renseignements additionnels sur les montants pouvant augmenter ou réduire vos prestations, veuillez demander à un conseiller RBC une copie de notre article sur le RPC/RRQ.
Crédits d’impôt
  • Montant en raison de l’âge : Si vous aviez 65 ans ou plus, vous pourriez demander le montant en raison de l’âge dans votre déclaration de revenus. Ce montant consiste en un crédit d’impôt fédéral non remboursable de 1 124 $ (15 % de 7 494 $ pour 2019). Le crédit est réduit de 0,15 $ par dollar de revenu net supérieur à 37 790 $ et sa valeur est nulle lorsque le revenu net atteint 87 750 $. Vous pourriez également avoir droit au crédit provincial ou territorial correspondant. Si vous n’aviez pas besoin de demander la totalité du crédit pour ramener à zéro votre impôt fédéral à payer, vous pourriez transférer le montant inutilisé à votre conjoint. Toutefois, si votre conjoint et vous ne pouviez utiliser le montant, celui-ci ne pourrait être reporté à une année antérieure ou ultérieure et serait donc perdu.
  • Montant pour revenu de pension : Vous pouvez demander un crédit d’impôt fédéral non remboursable, appelé « montant pour revenu de pension », applicable à la première tranche de 2 000 $ du revenu de pension admissible que vous recevez au cours de l’année. Le revenu de pension admissible comprend, mais n’est pas limité aux versements d’une rente viagère provenant d’un régime de pension agréé et, si vous aviez 65 ans ou plus, il comprendrait aussi les sommes retirées d’un FERR, d’un FRV, d’un FRVR, d’un FERRI ou d’un FERR prescrit. Les prestations de la SV, du RPC et du RRQ ne sont pas considérées comme un revenu de pension admissible. Vous pouvez également avoir droit au crédit provincial ou territorial correspondant. Si vous n’aviez pas besoin de demander la totalité du crédit pour ramener à zéro votre impôt fédéral à payer, vous pourriez transférer le montant inutilisé à votre conjoint. Tout montant inutilisé ne peut être reporté à une année antérieure ou ultérieure et est donc perdu.
Planification à l’égard des fiducies
  • Fiducies entre vifs : Songez à constituer une fiducie entre vifs, comme une fiducie familiale. La fiducie entre vifs peut vous permettre de fractionner votre revenu entre vous et vos enfants ou petits-enfants, ou de simplement apporter un soutien financier à long terme à vos enfants ou à d’autres membres de votre famille. Elle peut aussi servir à transférer discrètement à vos bénéficiaires des actifs hors de votre succession. Ce type de fiducie permet d’éviter de payer des frais d’homologation dans la plupart des provinces et territoires puisque les actifs de la fiducie ne sont pas transmis à la succession. Si vous aviez 65 ans ou plus, la constitution d’une fiducie en faveur de soi-même ou d’une fiducie mixte au bénéfice du conjoint (pour votre conjoint et vous) pourrait vous offrir des possibilités supplémentaires de planification fiscale et successorale. Adressez-vous à un conseiller fiscal qualifié pour déterminer si ces types de fiducie vous conviennent.
  • Fiducies testamentaires : Envisagez de prévoir la constitution d’une fiducie testamentaire dans votre testament. Cette fiducie offre une solution de rechange à une distribution directe des actifs de votre succession. Elle vous permet de décider du moment où les actifs seront versés à vos bénéficiaires et de leur répartition. Les fiducies testamentaires peuvent entrer dans l’élaboration de solutions à des situations familiales complexes, p. ex. une personne à charge handicapée, un bénéficiaire dépensier ou dans le besoin, un petitenfant en difficulté financière ou un second mariage. Il fut un temps où les fiducies testamentaires pouvaient être utilisées à des fins de fractionnement de revenus, mais cet avantage a été éliminé. Si vous aviez établi une fiducie testamentaire pour minimiser l’impôt, vous pourriez vouloir réviser votre plan successoral. Veuillez consulter un conseiller juridique qualifié pour examiner l’opportunité de prévoir la constitution d’une fiducie testamentaire dans votre testament.
Dons
  • Don de biens : Le don de biens de votre vivant à vos enfants ou petitsenfants est une stratégie simple qui pourrait vous permettre de réduire votre patrimoine et par conséquent possiblement réduire les frais d’homologation et les impôts sur ces actifs au cours de votre vie et au décès. Aux fins de l’impôt, les particuliers sont réputés avoir disposé des biens donnés à leur juste valeur marchande. De plus, si vous donniez des biens à des personnes mineures, il vous faudrait tenir compte des règles d’attribution, en vertu desquelles les dividendes et les intérêts tirés de ces biens pourraient vous être réattribués et imposés à votre nom.
  • Don de titres cotés en bourse : Si vous étiez philanthrope, vous pourriez songer à faire un don de titres cotés en bourse directement à un donataire reconnu. Un donataire reconnu peut être un organisme de bienfaisance ou encore, une fondation publique ou privée. Un organisme de bienfaisance enregistré est généralement un donataire reconnu. Les gains en capital provenant de ces titres seront normalement exonérés d’impôt. De plus, vous recevrez un crédit d’impôt pour don correspondant à la juste valeur marchande des titres donnés, ce qui pourrait réduire votre impôt total à payer. Si cette option vous intéressait, n’oubliez pas d’en discuter au préalable avec l’organisme de bienfaisance concerné afin de vous assurer qu’il est consentant et en mesure d’accepter ce type de don.
  • Fiducie de rente avec droit réversible à une oeuvre de bienfaisance : Vous pourriez songer à créer une fiducie de rente avec droit réversible à une oeuvre de bienfaisance qui vous émettrait immédiatement un reçu pour don de bienfaisance. De votre vivant, vous toucherez un revenu de la fiducie et, à votre décès, le solde sera directement transmis à l’organisme de bienfaisance que vous aurez désigné à titre de bénéficiaire. Grâce à cette stratégie, vous pourriez obtenir immédiatement l’allégement fiscal qui aurait été accordé ultérieurement à votre succession. Consultez un conseiller fiscal ou juridique qualifié pour déterminer si une telle stratégie est avantageuse pour vous. Il est important également de discuter de vos plans avec l’organisme de bienfaisance choisi, afin de vous assurer qu’il est disposé à accepter ce type de don.
Planification successorale
  • Impôt successoral américain : Si vous possédiez des actifs situés aux États-Unis (y compris, mais sans s’y limiter, des propriétés et des titres américains détenus dans des comptes enregistrés ou non), il serait important que vous évaluiez l’obligation fiscale qui pourrait incomber à votre succession. Vous pourriez être assujetti à l‘impôt successoral des É.-U. même si vous n’étiez pas une personne des É.-U. Consultez un conseiller fiscal qualifié au sujet des stratégies contribuant à réduire ou à éliminer l’impôt successoral américain.
  • Planification successorale : Assurez-vous que votre testament, vos désignations de bénéficiaires et vos procurations relatives aux biens et aux soins personnels (mandats au Québec) sont valides, à jour et toujours conformes à vos volontés.
Conclusion

Cet article couvre des questions courantes de planification financière à l’intention des aînés. Selon votre situation et vos objectifs, vous pourriez vouloir considérer certaines stratégies qui y sont présentées afin de vous aider à planifier et assurer votre avenir financier. Pour en savoir plus sur n’importe lequel de ces sujets, veuillez communiquer avec un conseiller RBC et un conseiller en fiscalité qualifié.

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Gabriel Flores est conseiller en placement chez RBC.  Les opinions de l’auteur ne reflètent pas nécessairement celles de RBC.  Cet article n’est fourni qu’à titre d’information.  

Cet article pourrait décrire plusieurs stratégies, mais elles ne sont pas forcément toutes adaptées à votre situation financière particulière. Les renseignements contenus dans cet article n’ont pas pour but de donner des conseils fiscaux, juridiques ou en assurance. Afin de vous assurer que votre situation particulière sera bien prise en compte et que toute initiative sera fondée sur les renseignements les plus récents qui soient, vous devriez obtenir des conseils professionnels d’un conseiller qualifié fiscal, juridique et/ou en assurance avant d’agir sur la foi des renseignements fournis dans cet article.

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